Pose de votre parquet
Double frise droite en bois rouge
Liseré chêne, frise en échelle simple.
Passage de porte en double échelle
Sur Versailles avec frise en échelle simple
Rose des vents en merbau et wengé
Parquet en chêne
Plusieurs styles de pose existent
Le parquet, en plus d’être un régulateur hygrométrique de premier ordre, apportera à votre intérieur une touche de chaleur, d’élégance, d’authenticité.
Produit noble s’il en est, il est le prolongement naturel de l’âme de l’habitation, de sa décoration, de son architecture, de la personnalité de son occupant.
Qu’il soit moderne (teck, merbau, wengé...), ou plus traditionnel (chêne, pin, mélèze...), les variétés de pose, de combinaisons de couleurs vous permettront d’avoir un intérieur unique, d’être chez vous et non chez tout le monde.
La pose droite
La pose en bâton rompu
La pose en point de Hongrie
La pose en fougère
La pose en panneau de Versailles
La pose en pont de bâteau
Octogone (rose des vents sur pose octogonale)
Salamandre en galets
incrustation dans un parquet chêne, frises droites chêne et merbau
La pose du parquet peut être valorisée par l’ajout de frises, de motifs, d’essences différentes , d’autres matériaux...
Il n’existe pas de limite technique à la création. Seule existe celle de l’imagination !
Les 3 techniques de pose
Cloué sur lambourde
Les lames sont clouées sur les lambourdes qui sont soit fixées au sol au plâtre (ancienne technique nécessitant un temps de séchage long, souvent incompatible avec les délais actuels), soit posées flottantes sur une sous couche d'isolation phonique, ce qui permet (entre autre) de minimiser les ponts acoustiques.
Collé au sol
Les lames sont collées directement sur le support, pourvu que celui-ci soit plan, cohérent, et homogène, avec des colles de type polyuréthane ou ms polymère.
Posé flottant
cette pose noble concernait des parquets massifs posés sur un lit de sable ou de gravette recouvert d'un feutre bituminé.
Dévoyée et devenue l'apanage des GSB et des bricoleurs en tous genres dont certains se pensent et se présentent parqueteurs, il s'agit aujourd'hui d'une pose de rénovation sans âme qui ne mérite pas à mon sens que l'on s'attarde dessus
Un peu de détails...
Le bois est un matériau vivant, il peut subir des variations dimensionnelles importantes liées à l'hygrométrie.
Il se comporte comme une éponge, se dilatant quand il absorbe l'humidité, se rétractant quand il l'évacue.
A la différence de l'éponge cependant, il ne se dilate pas uniformément sur tous ses axes dimensionnels.
Il se comporte comme un spaghetti, s'élargissant (perpendiculairement au fil du bois) beaucoup, épaississant un peu, mais ne s'allongeant que de façon très marginale.
C'est pour ça qu'il convient d'être particulièrement attentif à l'harmonisation entre l'humidité de l'air et celle du parquet, et d'essayer autant que faire se peut d'anticiper leurs évolutions respectives.
Il sera donc indispensable de respecter les dilatations réglementaires, de s'assurer de l'absence de remontées d'humidité du support sur lequel sera posé le parquet, et de trouver le cas échéant les solutions adéquates.
Il conviendra aussi de respecter les règles prudentielles de base en matière de dimension des lames, un parquet massif de 15mm d'épaisseur ne devant pas dépasser 120 mm de large (optimum : 90), 160 mm pour du 22mm d'épaisseur (optimum : 120-140).
Les parquets contrecollés, de par la structure de leurs lames (parement, âme, contreparement étant collés à fils contrariés) présentent souvent une stabilité dimensionnelle remarquable (compensant ainsi partiellement leur manque d'authenticité) qui les affranchissent de ces règles prudentielles au bénéfice de l'avis technique du fabricant.
Il est à remarquer que beaucoup de parquets posés jusqu'en 1960-70 étaient à fil contrariés (bâton rompu, point de Hongrie, mosaïque, panneaux…), les dilatations des lames étant contrariées par la perpendicularité des lames attenantes.
Il convient d'être extrêmement vigilant dans le cas de la pose de lames droites sur une grande surface, les dilatations individuelles se cumulant, le risque de voir apparaître des désordres parfois majeurs augmentant significativement.